Dans ses Directives à l’intention des juges, la FEI utilise les six points de cette échelle comme cadre d’analyse du jugement des mouvements dans tous les
niveaux.
Issue d’une concertation avec les différentes nations, l’échelle de progression s’est précisée au fil des années.
Elle est conforme aux principes de l’école française, notamment : « calme, en avant et droit » et « marier intimement impulsion et flexibilité », pour reprendre les formulations du Général
L’hotte dans Questions équestres.
Elle permet une mise en œuvre maîtrisée des procédés classiques de dressage, sans imposer une méthode particulière.
C’est un fil directeur pour l’entraînement quotidien des chevaux en vue de la progression de leurs qualités.
Elle laisse une entière liberté au cavalier sur le choix des exercices et des moyens. Simple, facilement présente à l’esprit, elle met en avant les objectifs indispensables au développement des capacités du cheval.